Rémy Dreyfus à l’honneur sur le web

C’est la Fondation de la Résistance qui lui consacre une page dans le cadre de son exposition virtuelle de la résistance (voir la page )

D’autres articles avaient été consacrés à Rémy Dreyfus lors du 6 juin 2019

Voir ou voir la vidéo INA ou encore

Il rejoint la liste des cadets cités sur le Web

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il y a 75 ans, le 23 novembre 1944, Strasbourg était libérée

C’est le 23 novembre que la 2DB entre dans Strasbourg, dix semaines après la jonction avec la première armée, 3 mois après la libération de Paris

Dix semaines durant lesquelles la logistique américaine a du se réorganiser pour pouvoir soutenir les armées toujours plus éloignées des ports. Dix semaines de combats dans la région des Vosges et dans l’Alsace. Durant ces dix semaines, les cadets vont participer activement, dans les combats des maquis, dans la deuxième DB, dans la première armée ou dans les missions de reconnaissances au sein des divisions U.S

7 cadets vont tomber au cours des combats de cette période. Il en tombera encore deux autres en Alsace durant l’année 1944

Les premiers à tomber sont Antoine Mayer et François Chapman qui tombent respectivement dans le Jura le 16/9/1944 et dans les Vosges le 23/9/44. Tous deux étaient affectés au BCRA et encadraient des maquisards.

Trois autres vont tomber en octobre. D’abord Jean MARX qui après avoir dirigé les combats des maquisards avait rejoint la première armée. Il tombe le 11 octobre 1944 dans les Vosges. Ce sont ensuite Brice DARIEUX et Georges TORRES qui tombent le 18 octobre et le 20 octobre. Tous les deux étaient engagés dans la 2DB.

Le mois de novembre verra encore tomber René Hainaut et Gustave Lespagnol (2DB) les 21 et 23 novembre.

Suivront Guy DIGO (1ère armée) le 28 novembre et François Weyl le 11 décembre. Ce dernier combattait au sein de la 79e Division d’Infanterie américaine.

Né en 1925, Guy Digo avait 19 ans, les autres avaient 20 ans ou 21 ans !
Tous étaient volontaires pour libérer la France !

Cette année, la Ville de Strasbourg a célébré cette libération le 16 et le 17 novembre. Une délégation de l’association du Souvenir des Cadets de la France Libre était présente.

On peut trouver sur YouTube des images de la deuxième DB en 1944 et la ville de Strasbourg a créé un film pour ce 75e anniversaire

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Deux lettres de 1940

En juin 1940, Jean Martin d’Escrienne né le 6 décembre 1922 n’a pas encore 18 ans lorsqu’il assiste depuis le village de la Bièvre où il habite à l’évènement inimaginable de la déroute rapide de l’armée française. A une époque où l’on avait peu de téléphone et pas du tout de portable, pour vider ce que l’on avait sur le cœur, on écrivait …

Les deux textes qui suivent sont extraits de son ouvrage « De Gaulle de loin et de près ». Elles expriment de façon très détaillée ce que pouvait penser un jeune des occupants allemands, du « vieux Pétain », de l’appel du Général De Gaulle, mais aussi de l’esprit de renoncement qui frappait la plupart des adultes.

Au delà de cette révolte écrite, il va mener des actions de résistance, participer à une filière d’évasion des aviateurs anglais tombés en France, puis s’évader de France, entrer à l’école militaire des cadets de la France Libre, puis revenir en France avec la première DFL.

Il sera l’un des derniers aides de camp du Général De Gaulle

Pour lire les lettres

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Les cadets en Provence… il y a 75 ans

Lorsqu’ils ont débarqué sur les plages de Provence le 15 ou le 16 août 1944, il ne s’agissait pas d’une partie de plaisir, mais du retour en France d’une armée française en état de combattre, et moins d’un mois après, le 12 septembre, il rejoignaient des troupes de la deuxième DB et participaient aux batailles de reconquête des Vosges, du Jura et de l’Alsace pour pénétrer finalement en Allemagne.

Notre lettre trimestrielle de ce trimestre précise la participation des 41 cadets de la France Libre qui ont participé à cette bataille. Plusieurs ont été blessés et l’un d’eux, Patrick Beaufrère y a perdu la vie le 23 août. On notera aussi que si la libération de la vallée du Rhone a été relativement facile, c’est que les troupes allemandes avaient ordre de se replier. Les FFI qui tenaient les routes de montagnes, les troupes américaines et en particulier leur aviation ont bien sûr largement contribué au succès de cette campagne qui d’après certains chiffre a permis de faire pas moins de 130 000 prisonniers.

Vous pouvez lire et télécharger la lettre trimestrielle (ici)

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Le 1er août 1944, il y a 75 ans, La 2eme DB débarque en France

Avec elle, l’armée française fait son retour sur le territoire national et contribue à la libération contre l’occupation allemande. Bien sûr, une division française de 14000 hommes au milieu des 2 520 000 qui vont arriver en France entre le 6 juin et la fin août, c’est très peu de chose. Mais le général Leclerc, va faire en sorte que sa division soit à la pointe des combats et force à plusieurs reprise la victoire.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est 2DB_1944_B.jpg.

Une quarantaine de cadets dont 30 aspirants font partie de la deuxième DB et participent à la bataille de Normandie.

Notre lettre trimestrielle de juillet rappelle tous les cadets engagé dans la bataille de Normandie proprement dite, mais aussi dans les actions menées conjointement en France pour bloquer les déplacements des troupes allemandes. (ouvrir la lettre)

Mais un certain nombre de nos cadets vont y laisser la vie …

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il y 75 ans: 8 Cadets de la France Libre présents le 6 juin 1944

En Angleterre, en mai 1944, chacun réalise que le débarquement sur le Continent européen est imminent. Pour les Forces françaises libres stationnées en Angleterre, la seule inconnue porte sur les missions qui leur seront confiées.
Pour le débarquement lui-même et les semaines qui seront ensuite nécessaires pour installer une tête de pont capable de bousculer les armées allemandes, toutes les unités sont sous le commandement du maréchal Montgomery, qu’elles soient anglaises, canadiennes ou américaines. Mais le GQG reste dirigé par le général Eisenhower à qui Roosevelt avait conseillé de se méfier de De Gaulle. Celui-ci ne sera donc informé du dispositif de bataille qu’à la veille du débarquement.

Cela n’empêchera pas les FFL de terre, de l’air ou de la marine de participer au jour J

En Angleterre, le Général avait pris soin de conserver suffisamment de troupes pour que la participation de la France libre soit une réalité. Elle le fut d’autant plus brillamment que les Français libres reçurent deux missions d’importance.

Deux cadets dans le commando KIEFFER

La première fut donnée au commando du capitaine Kieffer chargé de s’emparer de Ouistreham, une position essentielle puisqu’elle était à l’extrême gauche du dispositif anglais et que sa prise allait empêcher qu’il y eu de ce côté-là une contre-attaque allemande.
Parmi eux, Léopold Hulot (Fezzan Tunisie) et Laurent Casalonga, tous deux cadets.

Cinq cadets parachutés en Bretagne

La deuxième mission fut confiée au 4ème SAS du colonel Bourgoin. Il s’agissait pour ses 500 parachutistes d’investir la Bretagne pour y désorganiser les mouvements des troupes allemandes et faciliter, trois ou quatre semaines plus tard, la poussée des divisions américaines vers les ports bretons. La réaction allemande fut très vigoureuse et réussit à fixer une partie importante des troupes de Bourgoin autour du village de Saint-Marcel. Ce fut une dure bataille. Cinq cadets y participèrent: Gérard Gauthier de Carville, GeorgesTaylor , Paul-André Metz ainsi que Jacques Chatenay et François Mariani qui y trouvèrent tous deux la mort.

Et un officier de liaison auprès de la 6ème division Airborne anglaise

Pour compléter cette liste de cadets présents en Normandie le 6 juin 1944, il faut aussi citer Rémy Dreyfus (alias Daniel Plowright) qui fut détaché comme officier de liaison auprès de la 6ème division Airborne anglaise, et arriva à Ranville le 6 juin.

De plus, de nombreuses unités des Forces navales et aériennes de la France libre participèrent activement au débarquement.
(extrait d’un texte de Rémy DREYFUS paru dans l’Echo des Cadets N°50)

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Les nouveautés sur le site

Le site vient de s’enrichir de deux nouvelles pages (Cela en fait 40)

Une page sur les lycées d’où venaient les quelques cadets qui ont mentionné ce point dans leurs récits. Ceux qui ont rejoint l’Angleterre en 1940 étaient pour beaucoup encore en classe de première ou de terminale. En auriez vous fait autant à leur âge dans de telles circonstances ?

Une nouvelle page destinée à regrouper les textes rédigés en Anglais. Ils sont à vrai dire peux nombreux à ce jour mais nous espérons pouvoir bientôt enrichir cette page (merci d’avance aux volontaires)

Et puis de nouveaux textes viennent d’être publiés (il y a maintenant en tout 79 textes)

  • Pour la page des évasions, les textes de Robert Gaitz, Olivier schloesing
  • Pour la page de la promotion Libération un texte souvenir écrit par Etienne Laurent
  • Pour la page deuxième DB (Firth, Torres, Fossarieu, Iriart)
  • Dans la liste des textes, les textes de Pierre DAC, J-H Schloesing et le calendrier historique de l’école.
  • un récit de jacques Kaufmann de son évasion jusqu’à la libération de Colmar
  • et quatre textes en anglais

 

 

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Adieu à Claude VOILLERY

Avec Claude Voillery qui nous a quitté mardi 16 avril, nous perdons l’un des derniers cadets de la France libre, mais aussi un ami de la Fondation Charles de Gaulle depuis sa création. Né en mai 1925 à Montmorency, il faisait ses études à Paris au Lycée Janson de Sailly en 1939. En juillet, son père, récemment nommé consul de France en Islande à

Claude Voillery en 1945

Claude Voillery en 1945

Reykjavik le fait venir en vacances sur la terre des glaciers et des volcans. La déclaration de guerre empêche son retour en France et c’est donc depuis l’Islande qu’il assiste à la brutale défaite des armées françaises en 1940. En 1941 il passe en Angleterre pour terminer ses études secondaires au lycée Français de Londres alors replié dans le Cumberland. Il passe son baccalauréat en juin 1943 et va s’engager aussitôt dans les bureaux de la France Libre. Il est alors affecté à l’école des Cadets de la France Libre. Il en sort le premier juin 1943 avec le grade d’Aspirant dans la promotion « 18 juin ». Il entre alors au B.C.R.A, l’organisme qui organisait l’encadrement militaire des maquis de la France Libre. Il subit un entraînement de commando dans une école britannique puis est parachuté en France en Haute Marne près de Rivière-les-fosses. Il a alors 19 ans. Il organise avec le maquis le harcèlement des troupes allemandes en retraite puis lorsque la région est libérée, il rejoint Londres en attente d’une nouvelle affectation. Il est alors atteint de tuberculose et doit terminer la guerre dans un sanatorium, à son grand regret.
Mais une vie d’homme, ne se limite pas à sa jeunesse, quelque glorieuse qu’elle soit. Il va ensuite se marier en 1946, mener une carrière bancaire en France, en Belgique et ce qui est moins commun en Bulgarie. Avec Pierre Lefranc, il anime le bureau de l’amicale des Cadets de la France Libre dont il restera le trésorier de 1972 jusqu’à sa dissolution en 2000. Il participe aussi avec Pierre Lefranc aux débuts de la Fondation Charles de Gaulle.

Claude et Françoise Voillery en 2016

Claude et Françoise Voillery en 2016

En 2014, il est l’un des membres fondateurs de l’Association du Souvenir des Cadets de la France Libre.
Mais ce qui a le plus marqué ceux qui le connaissaient, c’est d’abord une grande gentillesse assortie d’un sourire chaleureux qui créait autour de lui cette atmosphère amicale un peu spéciale qu’il appelait « l’esprit cadets ». A son épouse Françoise et à ses enfants, nous présentons nos condoléances.

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Les Cadets et la recherche historique

Pour le lancement du Comité de l’Histoire des Cadets de la France Libre.

Avec le temps qui passe, la saga des Cadets n’est plus seulement le souvenir des Cadets encore en vie. Elle devient objet d’études historiques. Avec peut-être moins de chaleur et de vécu intime mais avec plus d’exigences scientifiques, avec le souci aussi de rassembler, au-delà des témoignages accumulés des parcours des Cadets et de leurs instructeurs, tous les documents et archives les concernant en les inscrivant dans un contexte et une perspective historique permettant de leur donner leur juste place dans les combats pour la libération de la France.

Les statuts de notre Association, dans ce cadre, ont prévu dans leur article 6 §4, la création d’un « Comité de l’histoire des Cadets de la France Libre ».

Ce Comité, qui reste à mettre en place, « réunit à l’invitation de l’association et suivant leur accord et leur adhésion, des historiens, écrivains, journalistes et personnalités diverses, qui, par leurs écrits et leurs actions, ont prouvé leur attachement à la mémoire des Cadets ».

« Le Comité contribue au recensement des archives, documents et travaux consacrés aux Cadets et à leur Ecole, à l’exactitude historique des informations diffusées sur l’Ecole et les Cadets ».

Si le Comité de l’histoire n’est pas encore installé, tout le travail préparatoire en amont est en cours d’achèvement. Hugues LAVOIX, notre secrétaire général, a numérisé un très grand nombre de documents et d’archives qui constituent le « fond documentaire » du futur Comité, à côté de la « somme » que constitue le travail de mémoire réalisé par André CASALIS dans ses ouvrages consacrés aux Cadets.

Mais la reconnaissance scientifique viendra largement de travaux universitaires que nous aurons suscités ou auxquels nous aurons apporté notre concours. Il convient ici aussi de les recenser pour ceux qui ont été réalisés avant la création de l’ASCFL en 2014.

Nous avons déjà signalé le récent Mémoire pour le Master en Histoire présenté à l’Ecole doctorale de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris en 2017-2018 par Félix TERRIER ; mémoire dirigé par Guillaume PIKETTY et Manon PIGNOT.

Ce mémoire porte pour titre : « de l’engagement à la mémoire : itinéraire des Cadets de la France Libre ». Il mérite naturellement notre lecture, nos commentaires, voire nos compléments ou nos observations. Non pour remettre en cause tel ou tel aspect du document mais pour prolonger la réflexion historique et les études autour du document. Ce pourrait être d’ailleurs un des premiers travaux du Comité de l’histoire qui pourrait auditionner l’auteur, Félix TERRIER, par ailleurs membre de l’ASCFL.

Au-delà de cet ouvrage, peu de travaux universitaires ont été consacrés en tout ou partie aux Cadets de la France Libre. Dans sa bibliographie, Félix TERRIER cite Jean-François MURACCIOLE (Les Français libres, Tallandier, 2009), Patrick RONGIER (L’Ecole militaire des Cadets de la France Libre, sous la direction de François COCHET, « Expérience combattante : Former les soldats au feu », Riveneuve, Paris,2011), et enfin Guillaume PIKETTY, (« Free French coming out of war », revue européenne d’histoire). C’est bien peu pour nous satisfaire. C’est pourquoi, relancer la recherche sur le rôle des Cadets dans la guerre et sur leur devenir ensuite, doit être l’une de nos premières préoccupations.

Autour de Hugues LAVOIX, et en étroite liaison avec André CASALIS, pourrait déjà se constituer un « noyau dur » de membres de l’ASCFL intéressés par ce projet. L’assemblée générale de décembre 2019 pourrait être l’occasion de lancer le Comité après avoir sollicité les historiens précités, et les Fondations proches qui disposent déjà d’un comité scientifique d’études historiques.

Le comité de l’Histoire constituera à l’évidence un moyen efficace et légitime permettant de pérenniser la « geste » des Cadets.

Pierre MOULIÉ, vice-président de l’ASCFL

 

Dernières nouvelles de l’association :

Le livre « En route pour l’Angleterre » rassemblant des textes de Cadets sur leur évasion vers l’Angleterre a été diffusé aux adhérents. Cette publication a été l’occasion d’une conférence au Cercle National des Armées le 28 janvier, à l’initiative de Michel ANFROL et des Amis de la Fondation Charles de Gaulle, avec sa présentation par René MARBOT, Hugues LAVOIX et Pierre MOULIÉ,

Les mémoires de guerre de Marc SAVIGNY, traduites en français seront prochainement publiées par l’ASCFL. Ainsi que l’ouvrage consacré à « la double évasion de Robert MOULIÉ » commandant la 1ère Compagnie d’élèves-aspirants de l’Ecole des Cadets de la France Libre (promotion du 18 juin »),

Les 2 et 3 février 2019, une délégation de l’association a été accueillie à Saint-Cyr Coëtquidan à l’occasion de la réunion de la Promotion « Cadets de la France Libre,

Le 9 mai 2019, une rencontre est prévue à Londres avec les nouveaux propriétaires du manoir de RIBBESFORD, avec la participation d’un représentant de l’Ambassade de France à Londres,

L’ASCFL est désormais représentée, au sein du conseil d’administration de l’association « la maison de la 2ème DB », par Pierre MOULIÉ.

D’importantes cérémonies auront lieu sur le parcours triomphant de la 2ème DB à l’occasion de son 75ème anniversaire, avec un temps fort à Strasbourg le 17 novembre 2019.

Pour télécharger cette lettre : (lien)

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Décès de Guy RIchard l’un des 8 plus jeunes cadets

Guy RICHARD avait traversé la Manche en Canoé en septembre 1941 en compagnie

Guy Richard le 16 mars 2019 reçoit la légion d'Honneur (Photo UNC-AME

Guy Richard le 16 mars 2019 reçoit la légion d’Honneur (Photo UNC-AME)

de son frère Christian RICHARD, des frères Pierre et Jean-Paul LAVOIX et de Reynold LEFEBVRE. Partis de Fort-Mahon (80) ils étaient arrivés à Folkstone après 32 heures en Canoë. (récit). Les cinq jeunes gens avaient ensuite été reçus par Winston CHURCHILL qui avait salué cet exploit en disant « Voilà le visage de la vraie France »

Né en 1926, Guy avait était âgé de 15 ans lors de cette traversée.
Il avait suivi les cours de l’Ecole des Cadets de la France Libre à Malvern puis à Ribbesford puis, il avait participé à la libération au sein de la 1ère DFL, et avait fait les campagnes d’Italie, de France et d’Allemagne.

Après la guerre, il avait ensuite mené une carrière d’enseignant.

Frappé d’un AVC en 1981, il vivait depuis dans une maison de retraite.

Il venait d’être décoré de la Légion d’Honneur le 16 mars 2019. Il est décédé le 2 avril.

Reynold Lefebvre, Jean Paul LAVOIX, Christian et Guy Richard à Ribbesford

Reynold Lefebvre, Jean Paul LAVOIX, Christian et Guy Richard à Ribbesford

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