Deux lettres de 1940

En juin 1940, Jean Martin d’Escrienne né le 6 décembre 1922 n’a pas encore 18 ans lorsqu’il assiste depuis le village de la Bièvre où il habite à l’évènement inimaginable de la déroute rapide de l’armée française. A une époque où l’on avait peu de téléphone et pas du tout de portable, pour vider ce que l’on avait sur le cœur, on écrivait …

Les deux textes qui suivent sont extraits de son ouvrage « De Gaulle de loin et de près ». Elles expriment de façon très détaillée ce que pouvait penser un jeune des occupants allemands, du « vieux Pétain », de l’appel du Général De Gaulle, mais aussi de l’esprit de renoncement qui frappait la plupart des adultes.

Au delà de cette révolte écrite, il va mener des actions de résistance, participer à une filière d’évasion des aviateurs anglais tombés en France, puis s’évader de France, entrer à l’école militaire des cadets de la France Libre, puis revenir en France avec la première DFL.

Il sera l’un des derniers aides de camp du Général De Gaulle

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